- EAN13
- 9782322464852
- Éditeur
- Books on Demand
- Date de publication
- 02/05/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - TARMAC 22,00
Le jeune Victor Hugo est amoureux d'Adèle Foucher, une amie d'enfance. Ils
s'avouent leur amour en 1819 et, comme leurs parents s'opposent à leur union,
ils correspondent secrètement de 1819 à 1822, soit jusqu'à ce qu'ils se
marient en octobre 1822. « Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse, /
C'est donc vous ! Je m'enivre encore à votre ivresse. / Je vous lis à genoux !
» C'est à soixante-dix ans que Victor Hugo écrit ces vers alors qu'il vient de
se replonger dans les lettres de sa jeunesse, les lettres d'amour qu'il
écrivit à Adèle Foucher avant de l'épouser à vingt ans et d'en faire sa femme.
C'est une correspondance où le poète célèbre cette volupté de la rêverie, de
l'espoir et de la foi, de tout ce qui est le charme victorieux des vingt ans.
Un parfum s'en exhale, comme des fleurs toutes scintillantes encore de rosée.
On lit charmé ce roman «vécu» ou plutôt cette idylle pareille à celle que
l'auteur des «Misérables» place dans une rue disparue du vieux Paris et où la
mélancolie de Marius répond au sourire de Cosette.
s'avouent leur amour en 1819 et, comme leurs parents s'opposent à leur union,
ils correspondent secrètement de 1819 à 1822, soit jusqu'à ce qu'ils se
marient en octobre 1822. « Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse, /
C'est donc vous ! Je m'enivre encore à votre ivresse. / Je vous lis à genoux !
» C'est à soixante-dix ans que Victor Hugo écrit ces vers alors qu'il vient de
se replonger dans les lettres de sa jeunesse, les lettres d'amour qu'il
écrivit à Adèle Foucher avant de l'épouser à vingt ans et d'en faire sa femme.
C'est une correspondance où le poète célèbre cette volupté de la rêverie, de
l'espoir et de la foi, de tout ce qui est le charme victorieux des vingt ans.
Un parfum s'en exhale, comme des fleurs toutes scintillantes encore de rosée.
On lit charmé ce roman «vécu» ou plutôt cette idylle pareille à celle que
l'auteur des «Misérables» place dans une rue disparue du vieux Paris et où la
mélancolie de Marius répond au sourire de Cosette.
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