- EAN13
- 9782708253889
- ISBN
- 978-2-7082-5388-9
- Éditeur
- L'Atelier
- Date de publication
- 28/10/2021
- Collection
- SCIENCES HUMAIN
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 18 x 12 x 0,8 cm
- Poids
- 96 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Fin 2019, le déficit budgétaire de la France représentait 72,8 milliards d'euros. Pour de nombreuses voix, la dette ainsi créée constituait une véritable catastrophe, un mal à éradiquer.
Un an et une crise sanitaire après, on annonçait que la dette représenterait au moins 220 milliards d'euros fin 2021. Les portes de l'enfer se sont-elles pour autant ouvertes ? Évidemment que non.
Pourtant, l'exécutif n'a pas tardé à ressortir le spectre de la dette, prétexte idéal pour justifier ses politiques libérales : baisse des dépenses publiques, réformes «structurelles» qui sont autant d'attaque contre le monde du travail, etc.
Cet ouvrage se veut un antidote à ces politiques. Pour commencer, il propose d'annuler la «dette Covid» (les sommes dépensées pour faire face aux conséquences de l'épidémie et détenues par la BCE). Et plus largement, il explique pourquoi et comment il est temps d'affirmer «lâchez-nous la dette», d'arrêter de brandir ce faux problème, tel un épouvantail permettant de faire passer les réformes les plus antisociales.
Un exercice pédagogique et engagé d'autant plus indispensable que la question de la dette devrait être au centre du débat économique des élections de 2022.
Un an et une crise sanitaire après, on annonçait que la dette représenterait au moins 220 milliards d'euros fin 2021. Les portes de l'enfer se sont-elles pour autant ouvertes ? Évidemment que non.
Pourtant, l'exécutif n'a pas tardé à ressortir le spectre de la dette, prétexte idéal pour justifier ses politiques libérales : baisse des dépenses publiques, réformes «structurelles» qui sont autant d'attaque contre le monde du travail, etc.
Cet ouvrage se veut un antidote à ces politiques. Pour commencer, il propose d'annuler la «dette Covid» (les sommes dépensées pour faire face aux conséquences de l'épidémie et détenues par la BCE). Et plus largement, il explique pourquoi et comment il est temps d'affirmer «lâchez-nous la dette», d'arrêter de brandir ce faux problème, tel un épouvantail permettant de faire passer les réformes les plus antisociales.
Un exercice pédagogique et engagé d'autant plus indispensable que la question de la dette devrait être au centre du débat économique des élections de 2022.
Commentaires des lecteurs
Sur la présentation de Lâchez nous la dette
Même si l'on est convaincu sur le fond, cette présentation prête à la confusion entre le déficit budgétaire annuel chronique et la dette cumulée. Fin 2020 la dette indiquée ne représente donc que le déficit de l'année. A fin 2019 ...
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