Conseils de lecture

8,90
Conseillé par (Libraire)
2 juin 2020

Vous connaissez tous la comptine Am Stram Gram Pic et Pic et Colegram Bour et Bour et ratatam Am Stram Gram et PIC ….. Ce sera toi qui me plairas taratata………… car cette tueuse est redoutable et diabolique. Son unique plaisir, séquestrer un binôme et le laisser mourir à petit feu avec une arme, une balle…. et un portable avec juste un appel de disponible. Et la sentence est irrévocable ! Ce polar ne nous laisse aucun répit tant la tension monte crescendo pour chaque binôme choisi. Amis lecteurs, on se retrouve très vite à la librairie et surtout prenez votre mal en patience.

Grâce à ce livre, le confinement n’est pas si terrible ! (un peu d’humour rythme nos journées).
PS : Je commence Oxygène du même auteur

Laurence C.


Pandémie

1

Le Lombard

12,95
Conseillé par (Libraire)
2 juin 2020

C'est le moment de lire la BD "Green class" (les 2 premiers tomes publiés par Le Lombard) qui nous plonge au cœur d'un groupe de six adolescents issus d'un foyer, découvrant à la fin de leur semaine d'excursion en forêt, un monde bouleversé par un virus transformant une partie de l'humanité en êtres difformes et agressifs. Ces adolescents font alors face à une société qui construit des murs et s'arme pour se protéger. Eux se battent avec toute la force de leur amitié et de leur solidarité pour survivre.
Ce monde apocalyptique nous fait relativiser notre période de confinement et nous fait apprécier le fait de nous lover dans notre cocon.
Donc "Restons chez nous" avec nos piles de livres comme refuge.

Vincent N.


13,00
Conseillé par (Libraire)
2 juin 2020

Parmi les petits plaisirs de ces jours-ci, il y a la lecture et la relecture de "La famille souris se couche". Kazuo Iwamura convoque un monde plein de tendresse que vos tout petits adoreront. Le soir, c'est l'heure des petits rituels, le repas, le bain, le coucher, la berceuse. Nos quatorze souris se pressent autour du feu pour partager leur quotidien. Au-dessus d'elles, une lune bienveillante éclaire les derniers moments de la journée. Chuuuuut... Un album intemporel qu'on ne s'attendait pas à lire autant cette semaine, mais dont les mille détails nous ont occupé longtemps.

Aurélien V. et Caroline B.


18,00
Conseillé par (Libraire)
26 mai 2020

Benoît Philippon nous avait scotché avec son "Cabossé" paru à la Série Noire il y a deux ans. Puis, avec "Mamie Luger", l'année dernière, il avait réussi le mélange parfait (et extrêmement rare) d'humour, de noirceur et d'émotion.
C'est peu dire que j'attendais son nouveau roman avec impatience.
Il nous entraîne cette fois dans le milieu des parties clandestines de poker. On y croise beaucoup de pourris, de requins et de machos.
Et au milieu de tout ça, les trois personnages principaux. A commencer par Maxine , la "joueuse" du titre. Une femme marquée au fer rouge par la vie et par les hommes qui va se servir du poker pour les remettre à leur place et tenter de se venger.
Zac, le looser magnifique et Baloo, son compère, montagne de muscles qui passe ses nuits à traîner en ville afin de défoncer les salauds qui agressent les femmes.
Là où Benoit Philippon est extrêmement doué, c'est qu'il arrive, malgré toute cette noirceur, à faire flotter à la surface ce petit rien d'humanité qui nous fait dire "Allez ! Tout n'est pas perdu". Benoît Philippon, c'est l'étincelle dans la nuit la plus noire. C'est le goéland qui arrive, contre toute attente, à se sortir du mazout et à regagner l'azur même s'il y a laissé quelques plumes.

Frédéric L.


23,00
Conseillé par (Libraire)
26 mai 2020

Dans la petite ville d'Auln-sur-D'Arcq, en 1984, Sam, Marie et Henri vivent leur adolescence, rythmée par les virées en mobylette et les parties de jeu de rôle. Mais rapidement, après la rentrée et l'arrivée de l'ensorcelante Mélusine dans leur classe, les créatures de fiction imaginées par Lovecraft semblent dangereusement s'immiscer dans le quotidien de la petite bande, jusqu'au drame.

Peinture douce amère de la jeunesse des années 80, "Une année sans Cthulhu" fait revivre tout une époque, celle des bornes d'arcade et des baskets fluo, celle aussi où les univers imaginaires étaient regardés d'un œil méfiant par la presse et la société.
Servi par la patte graphique précise d'Alexandre Clérisse, le récit de Thierry Smolderen nous emmène loin, sur la frontière ténue qui sépare le réel de la folie. "

Aurélien V.