- EAN13
- 9782072772849
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Gallimard)
- Date de publication
- 1957
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Frère Esclave, le premier roman de J. Debu-Bridel, a été publié en janvier
1935, aux Éditions de la N.R.F., il y a vingt-deux ans. Ce livre devait
soulever alors, dès sa publication, une très vive polémique rappelée par
l’auteur dans sa préface. L’an suivant, le jury du Prix Interallié couronnait
« Frère Esclave » et « Jeunes Ménages », qui lui faisait suite. « Frère
Esclave » ouvrait en effet une longue suite d’ouvrages où l’on retrouve tous
les principaux personnages de ce roman, au cours des événements qui se
déroulent de 1910 à 1945. Après Jeunes Ménages (Prix Interallié 1935),
viendront Secondes Noces, Déroute, Sous la Cendre. Pour conclure, cet aveu de
l’auteur, aujourd’hui quatre fois grand-père et… sénateur… : « J’avais cru
qu’il n’était rien de plus émouvant pour un auteur que la publication de son
premier roman… je l’avais cru, mais aujourd’hui, je dois confesser qu’il est
bien plus angoissant de le voir livrer, vingt ans après, à la génération de
ses enfants, avec l’inquiétude de n’être peut-être plus, ni compris, ni même
entendu… »
1935, aux Éditions de la N.R.F., il y a vingt-deux ans. Ce livre devait
soulever alors, dès sa publication, une très vive polémique rappelée par
l’auteur dans sa préface. L’an suivant, le jury du Prix Interallié couronnait
« Frère Esclave » et « Jeunes Ménages », qui lui faisait suite. « Frère
Esclave » ouvrait en effet une longue suite d’ouvrages où l’on retrouve tous
les principaux personnages de ce roman, au cours des événements qui se
déroulent de 1910 à 1945. Après Jeunes Ménages (Prix Interallié 1935),
viendront Secondes Noces, Déroute, Sous la Cendre. Pour conclure, cet aveu de
l’auteur, aujourd’hui quatre fois grand-père et… sénateur… : « J’avais cru
qu’il n’était rien de plus émouvant pour un auteur que la publication de son
premier roman… je l’avais cru, mais aujourd’hui, je dois confesser qu’il est
bien plus angoissant de le voir livrer, vingt ans après, à la génération de
ses enfants, avec l’inquiétude de n’être peut-être plus, ni compris, ni même
entendu… »
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