- EAN13
- 9782373850550
- Éditeur
- Du Sonneur
- Date de publication
- 02/02/2017
- Collection
- Ce que la vie signifie pour moi
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Depuis qu'elle est morte elle va beaucoup mieux
Franz Bartelt
Du Sonneur
Ce que la vie signifie pour moi
Autre version disponible
Savoir que l'on va mourir, savoir accompagner ceux qui vont mourir, savoir
mourir en somme, avec humour et élégance, avec obstination et détermination :
voilà ce que la vie signifie pour Franz Bartelt.
" Mettez-moi à la poubelle ! Je vous dis de me mettre à la poubelle ! Comme
ça, vous serez débarrassés ! À la pou belle?! Quand ça ne va plus, c'est
direct à la poubelle ! Perdez pas votre temps ! " C'est long de mourir. C'est
long de voir mourir. Surtout celle qui vous a donné le jour et l'amour du
livre, des histoires qui racontent la vie. À 92 ans, le temps a perdu le Nord.
La boussole est déréglée, on dit que c'est le grand âge, celui où l'on se
souvient de choses dans le désordre, celui où on se souvient de rien parfois,
celui où on réinvente souvent. Franz Bartelt, comme toujours entre dérision et
tendresse, doutes et drôleries, écrit ce temps qui s'effiloche, cette mère qui
fait semblant de continuer de lire encore, cette mère qui s'accroche et finit
par s'en aller.
Savoir que l'on va mourir, savoir accompagner ceux qui vont mourir, savoir
mourir en somme, avec humour et élégance, avec obstination et détermination :
voilà ce que la vie signifie pour Franz Bartelt.
Né en 1949 dans l'Eure, Franz Bartelt vit dans les Ardennes, en voisin de
Rimbaud. Très tôt, il tombe dans la littérature et les romans noirs - ses
instituteurs pensaient le punir en l'obligeant à lire des romans. Il se met à
l'écriture dès l'âge de 13 ans. À 19 ans, il entre à l'usine, mais en 1985,
Franz Bartelt décide de se consacrer entièrement à l'écriture, le tout en un :
romancier, poète, dramaturge, feuilletoniste
et surtout nouvelliste. Toujours cocasse et tendre, il manie l'humour noir,
cette autodérision qui est sa marque de
fabrique, avec le savoir-faire d'un fin limier. Il remporte le Grand Prix de
l'Humour noir en 2000 pour Le Jardin du bossu et le prix Goncourt de la
Nouvelle en 2007 pour son recueil Le Bar des habitudes.
mourir en somme, avec humour et élégance, avec obstination et détermination :
voilà ce que la vie signifie pour Franz Bartelt.
" Mettez-moi à la poubelle ! Je vous dis de me mettre à la poubelle ! Comme
ça, vous serez débarrassés ! À la pou belle?! Quand ça ne va plus, c'est
direct à la poubelle ! Perdez pas votre temps ! " C'est long de mourir. C'est
long de voir mourir. Surtout celle qui vous a donné le jour et l'amour du
livre, des histoires qui racontent la vie. À 92 ans, le temps a perdu le Nord.
La boussole est déréglée, on dit que c'est le grand âge, celui où l'on se
souvient de choses dans le désordre, celui où on se souvient de rien parfois,
celui où on réinvente souvent. Franz Bartelt, comme toujours entre dérision et
tendresse, doutes et drôleries, écrit ce temps qui s'effiloche, cette mère qui
fait semblant de continuer de lire encore, cette mère qui s'accroche et finit
par s'en aller.
Savoir que l'on va mourir, savoir accompagner ceux qui vont mourir, savoir
mourir en somme, avec humour et élégance, avec obstination et détermination :
voilà ce que la vie signifie pour Franz Bartelt.
Né en 1949 dans l'Eure, Franz Bartelt vit dans les Ardennes, en voisin de
Rimbaud. Très tôt, il tombe dans la littérature et les romans noirs - ses
instituteurs pensaient le punir en l'obligeant à lire des romans. Il se met à
l'écriture dès l'âge de 13 ans. À 19 ans, il entre à l'usine, mais en 1985,
Franz Bartelt décide de se consacrer entièrement à l'écriture, le tout en un :
romancier, poète, dramaturge, feuilletoniste
et surtout nouvelliste. Toujours cocasse et tendre, il manie l'humour noir,
cette autodérision qui est sa marque de
fabrique, avec le savoir-faire d'un fin limier. Il remporte le Grand Prix de
l'Humour noir en 2000 pour Le Jardin du bossu et le prix Goncourt de la
Nouvelle en 2007 pour son recueil Le Bar des habitudes.
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