- EAN13
- 9782755409925
- Éditeur
- "François-Xavier de Guibert"
- Date de publication
- 16/01/2014
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
J'aimerais tant qu'on se revoie... mon fils
Dialogues avec le Professeur Henri Joyeux
Laurence Lapillonne, Henri Joyeux
"François-Xavier de Guibert"
Autre version disponible
Parce qu'un jour, l'impossible, l'inimaginable se produit, devient la réalité.
Un enfant, son enfant s'en va, ailleurs, au-delà. Après le choc, après le
chaos, reste un mince espoir qui redonne gout à la vie, l'envie de continuer :
son âme reste vivante, l'amour l'emporte, l'amour plus fort que la mort. Mais
le chemin pour y parvenir est long, très long, si long." Terrassée par la mort
de Tristan, emporté par un cancer foudroyant à 19 ans, Laurence, sa mère, est
au bord de le rejoindre. Un soir, par hasard, elle envoie un message sur le
site d'un cancérologue qu'elle ne connaît pas, une "bouteille à la mer".
Stupeur : contre toute attente, une réponse arrive aussitôt : "Il faut
accepter de vivre sous sa protection. Ce n'est plus lui qui a besoin de vous,
c'est vous qui avez besoin de lui. L'amour ne peut pas finir. Les vivants qui
sont partis peuvent nous laisser des signes." Pendant plus d'un an, le
dialogue serré et presque quotidien se poursuit entre cette mère profondément
blessée et le professeur Joyeux. Ce livre bouleversant en est la transcription
brute ; puisse-t-il être aussi un "signe" pour tous ceux qui guettent une
espérance.".
Un enfant, son enfant s'en va, ailleurs, au-delà. Après le choc, après le
chaos, reste un mince espoir qui redonne gout à la vie, l'envie de continuer :
son âme reste vivante, l'amour l'emporte, l'amour plus fort que la mort. Mais
le chemin pour y parvenir est long, très long, si long." Terrassée par la mort
de Tristan, emporté par un cancer foudroyant à 19 ans, Laurence, sa mère, est
au bord de le rejoindre. Un soir, par hasard, elle envoie un message sur le
site d'un cancérologue qu'elle ne connaît pas, une "bouteille à la mer".
Stupeur : contre toute attente, une réponse arrive aussitôt : "Il faut
accepter de vivre sous sa protection. Ce n'est plus lui qui a besoin de vous,
c'est vous qui avez besoin de lui. L'amour ne peut pas finir. Les vivants qui
sont partis peuvent nous laisser des signes." Pendant plus d'un an, le
dialogue serré et presque quotidien se poursuit entre cette mère profondément
blessée et le professeur Joyeux. Ce livre bouleversant en est la transcription
brute ; puisse-t-il être aussi un "signe" pour tous ceux qui guettent une
espérance.".
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