- EAN13
- 9782351251584
- ISBN
- 978-2-35125-158-4
- Éditeur
- Musées de Strasbourg
- Date de publication
- 31/05/2018
- Nombre de pages
- 102
- Dimensions
- 26,7 x 20,7 x 1,1 cm
- Poids
- 513 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La diffusion du premier épisode des Shadoks en 1968 a profondément marqué l'histoire de la télévision française. 50 ans plus tard, les drôles d'oiseaux n'ont pas pris une ride. En présentant un ensemble d'archives inédites, films et celluloïds ayant servi à leur réalisation, l'ouvrage fera découvrir un aspect inconnu de ces bestioles familières : leurs véritables couleurs.
Les Shadoks font partie de l'imaginaire collectif du téléspectateur français. La diffusion du premier épisode sur la seule chaîne de télé française en 1968 a constitué un véritable phénomène social en divisant le pays en deux camps : les " pour " et les " contre ". Au-delà de la " fracture " caractéristique de mai 1968 qu'elle a révélée, la série culte est surtout l'illustration d'un véritable " art populaire " exigeant : accessible à tous et pourtant riche en références littéraires et artistiques, pionnière dans les explorations techniques et musicales, elle est une cristallisation d'un certain esprit de son époque mais une interrogation subtile des contradictions et égarements de la condition humaine... L'exposition d'un ensemble d'archives, photographies, story-boards, films et celluloïds au musée Tomi Ungerer, Centre international de l'Illustration permettra de découvrir les coulisses de la réalisation de la série et ses célèbres contributeurs : Jacques Rouxel, scénariste et dessinateur, Claude Piéplu, la " voix " des Shadoks, les frères Cohen-Solal, compositeur et bruiteur... Si la série peut être considérée comme un véritable ovni télévisuel, on néglige souvent d'en explorer les sources littéraires et iconographiques : Jacques Rouxel a bien eu en effet un certain nombre d'inspirateurs, notamment parmi les cartoonists américains. L'ouvrage fait le choix de développer cette dimension méconnue de ce que l'on pourrait qualifier les " ancêtres des Shadoks ". Il mettra surtout l'accent sur un aspect véritablement inédit : les couleurs originales des films et celluloïds qui, pour des contraintes techniques, ne pouvaient être transmises à la télévision. Pour fêter leurs 50 ans, les Shadoks retrouveront donc toutes les couleurs de leur genèse.
Les Shadoks font partie de l'imaginaire collectif du téléspectateur français. La diffusion du premier épisode sur la seule chaîne de télé française en 1968 a constitué un véritable phénomène social en divisant le pays en deux camps : les " pour " et les " contre ". Au-delà de la " fracture " caractéristique de mai 1968 qu'elle a révélée, la série culte est surtout l'illustration d'un véritable " art populaire " exigeant : accessible à tous et pourtant riche en références littéraires et artistiques, pionnière dans les explorations techniques et musicales, elle est une cristallisation d'un certain esprit de son époque mais une interrogation subtile des contradictions et égarements de la condition humaine... L'exposition d'un ensemble d'archives, photographies, story-boards, films et celluloïds au musée Tomi Ungerer, Centre international de l'Illustration permettra de découvrir les coulisses de la réalisation de la série et ses célèbres contributeurs : Jacques Rouxel, scénariste et dessinateur, Claude Piéplu, la " voix " des Shadoks, les frères Cohen-Solal, compositeur et bruiteur... Si la série peut être considérée comme un véritable ovni télévisuel, on néglige souvent d'en explorer les sources littéraires et iconographiques : Jacques Rouxel a bien eu en effet un certain nombre d'inspirateurs, notamment parmi les cartoonists américains. L'ouvrage fait le choix de développer cette dimension méconnue de ce que l'on pourrait qualifier les " ancêtres des Shadoks ". Il mettra surtout l'accent sur un aspect véritablement inédit : les couleurs originales des films et celluloïds qui, pour des contraintes techniques, ne pouvaient être transmises à la télévision. Pour fêter leurs 50 ans, les Shadoks retrouveront donc toutes les couleurs de leur genèse.
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