Que seule demeure la poésie du Ienisseï
EAN13
9782849903025
ISBN
978-2-84990-302-5
Éditeur
Équateurs
Date de publication
Collection
Littérature
Dimensions
18,9 x 12 x 0,6 cm
Poids
76 g
Langue
français
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Que seule demeure la poésie du Ienisseï

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« Suffirait-il de trois rencontres dès le premier matin, Pour effacer une nuit d'insomnies, Et la fatigue d'une route vers l'orient.   Trois arpents de taïga, Des marais dans la brume, Une houle de collines vertes, Et sous le soleil masqué, La première courbe du fleuve, Ienisseï...   Suffirait-il des rencontres d'un matin de Sibérie, Des visages de femmes dont on ne saurait dire Laquelle est la plus belle, chenue, rousse ou brune, Pour trouver la route, et le sens ? Pour trouver le fleuve, et sa clarté. Pour retrouver ton âme ? Et la mienne ? »   À l'image des sillages que tracent les marins avec humilité, et qui s'effacent en silence derrière eux, il faudra bien qu'un jour l'humanité apprenne à ne pas laisser de marque derrière elle. Dans l'écume comme dans la poussière. La mer étant l'espoir et l'avenir de la Terre, il faudra bien un jour ne plus l'agresser comme nous avons violé la Terre. Et voilà comment le récit de voyage en Sibérie d'un marin qui pendant la guerre froide traquait les sous-marins soviétiques de l'Atlantique à la Méditerranée, devient par la poésie des eaux du Iénisseï, une ode à la magie du fleuve, et un manifeste écolo... Loïc Finaz est né en 1961. Capitaine de vaisseau et écrivain de Marine, il est notamment l'auteur de Échouage, Nous avions accosté à Guayaquil... et L'Or du soir (Équateurs)
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